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Lexiques
 

LEXIQUE LGBTQIA+

Altériser : considérer l'autre comme extraordinaire, hors de la norme, de façon péjorative ou méliorative

Bisexuel-le : une personne qui est physiquement et émotionnelment attirée par des personnes de tout sexe/genre et qui se définit comme étant bisexuelle.

Cis / Cisgenre : une personne dont l'identité de genre et l'expression de genre ( manière d'exprimer son genre : vêtements, gestuelle...) correspondant au genre qui lui a été assigné à la naissance.

Coming out / Outing : l'outing est le fait de révéler l'identité de genre et/ ou l'orientation sexuelle d'une personne sans son consentement, voire contre sa volonté.

Le coming out, à l'inverse, est un processus volontaire de révélation d'une identité.

Discrimination : inégalité de traitement fondée sur un des 26 critères définis par la loi (sexe, âge, handicap...) dans un domaine visé par la loi (emploi, éducation, santé...)

FSF : femmes ayant des relations sexuelles avec des femmes.

HSH : homme ayant des relations sexuelles avec des hommes. Ce sigle est utilisé dans un contexte médical et permet de prendre en compte dans les politiques de prévention et les parcours de soins les personnes qui se définissent comme hétérosexuelles.

FtM / MtF / MtX / FtX : acronymes désignant les personnes transgenres qui font une transition, qu'elle soit sociale et/ou médicale et/ou administrative : "Femme vers Homme" (Female to Male) ou "Homme vers Femme" (Male to Female).

Quand le sigle inclut un X, celui-ci désigne un genre non-binaire.

Hétérosexualité : attirance sexuelle pour les personnes du sexe/genre considéré comme "opposé" au sien.
 

Identité de genre : Identité de genre d'une personne est le genre auquel cette personne s'identifie. Le genre désigne l'ensemble des caractéristiques relatives à la masculinité et à la féminité ne relevant pas de la biologie, mais de constructions sociales. www.genrespluriels.be

Intersexe / Intersexué.e : personne dont les caractères sexuels (génitaux, gonadiques ou chromosomiques) ne correspondent pas aux définitions binaires des corps "féminins" ou "masculins" Libre et égaux, Nations unies www.unfe.org/fr

LGBTQIA+ : acronime pour les lesbiennes, gays, bisexuel.le.s, transgenres, queer/ en questionnement, intersexes, autres.

Mégenrer : parler d'une personne en utilisant un genre dans lequel elle ne se reconnaît pas.

Non-binaire : personne qui ne se définit pas dans la binarité des genre dans lequel elle ne se reconnaît pas.

Queer : à la fois mouvement politique et identification personnelle, le terme "queer" renvoie à la déconstruction des normes, notamment de genre et de sexualité.

Sexe : le sexe désigne l'ensemble des caractères sexuels, soit organes génitaux internes ou externes (vulve, pénis...)

les gonades (ovaires, testicules...) et les chromosomes (XX ou XY ou autre combinaison).

Trans / Personne transgenre : terme utilisé par les personnes qui s'identifient à un genre différent de celui qui leur a été attribué à la naissance. Puisque le mot "trans" décrit l'identité de genre, seule la personne peut décider si elle s'identifie au terme ou non.

LEXIQUE THÉRAPIE :

Abstraction sélective : en psychologie cognitive, conceptualiser une situation en se basant sur un détail pris hors de son contexte.

Adaptabilité : concept dérivé de la théorie des systèmes qui stipule que les organismes performants sont sans cesse en train de s’adapter à leur environnement. Au sein d’une famille, elle correspond à la capacité de cette dernière à modifier ses croyances et ses styles interactionnels lorsqu’elle est confrontée à des changements.

Ajustement créatif : dans le cadre de la Gestalt-thérapie, concept qui rend compte de la nature active du processus d’adaptation. Il correspond à la création de nouvelles réponses à une situation. Tous les ajustements créatifs sains nécessitent un contact avec ce qui se déroule dans le moment présent, plutôt que de se référer à une image passée.

Analyse transactionnelle : théorie de la personnalité et méthode thérapeutique s’inscrivant dans le courant humaniste au sein duquel les individus sont considérés comme intrinsèquement motivés par leur développement et un comportement social constructif. Elle vise une compréhension plus profonde de soi, ainsi qu’une amélioration des compétences communicationnelles et relationnelles.

Art-thérapie : méthode thérapeutique qui utilise l’art en tant que moyen d’expression pour communiquer des sentiments grâce à différents médias artistiques par le biais desquels les patients peuvent travailler sur leurs problématiques personnelles.

Association libre : règle fondamentale de la psychanalyse. Expression spontanée de ce qui vient à l’esprit sans autocensure.

Attention interne : ce dont on est conscient à l’intérieur de notre corps et de notre esprit.

 

Autohypnose : pratique qui permet à une personne d’induire son propre état d’hypnose sans

dépendre d’autrui.

Ça : une des trois instances psychiques principales élaborées par la théorie freudienne. Le « Ça » correspond aux pulsions sexuelles et agressives instinctuelles.

Cadre thérapeutique : il est constitué de différents éléments qui incluent la fréquence et la durée des séances, mais aussi l’espace physique au sein duquel se déroule la thérapie. Le cadre thérapeutique a pour fonction principale de sécuriser et de permettre l’émergence d’un espace physique et mental, où les émotions peuvent être contenues afin de faciliter le travail thérapeutique.

Cognitivisme : courant théorique et méthode thérapeutique qui en découle et se concentre sur les croyances d’un individu au sujet de lui-même, du monde et du futur. Les interventions thérapeutiques ciblent les pensées enracinées ou les cognitions inadaptées présentant un fonctionnement automatique.

Comportementalisme: théorie et méthode thérapeutique qui s’intéresse aux manifestations quantifiables et observables du comportement humain. Le but de la thérapie comportementaliste est de désapprendre les comportements problématiques.

Confluence : dans le cadre de la Gestalt-thérapie, terme qui renvoie à une fusion ou une dissolution de la frontière-contact, ce qui amène à une indifférenciation avec l’autre.

Déflexion : dans le cadre de la Gestalt-thérapie, terme qui renvoie à une fuite, un évitement du contact qui détourne l’énergie de son but premier.

Distorsion négative : schéma de pensée exagéré ou irrationnel qui provoque une perception inexacte de la réalité. Les distorsions négatives sont impliquées dans l'apparition et la perpétuation d'états psychopathologiques, comme la dépression et l'anxiété. La thérapie cognitive s’attache à analyser ces distorsions et à aider un client à reconnaître leur impact sur sa façon de fonctionner.

Écologie : en PNL, préoccupation qui concerne l’ensemble du système. L’analyse de l’écologie consiste à réfléchir à la façon dont le changement effectué s’intègre dans un système plus large.

Effet Zeigarnik : concept qui a été mis au jour par Bluma Zeigarnik, une psychologue russe, en 1928. Il démontre que les tâches inachevées, interrompues, s’avèrent plus facilement mémorables que les tâches ayant pu se conclure, car les individus continuent à les ressasser, à les ruminer sans cesse en agissant comme si les événements demeuraient cristallisés autour de celles-ci.

État de transe : modification naturelle de la conscience que l’on traverse de différentes manières au cours des périodes normales d’éveil, et qui se manifeste au cours de l’hypnose.

États du Moi : en analyse transactionnelle, aspects fondamentaux de la personnalité d’un individu qui organisent sa façon d’être au monde et sa façon d’entrer en communication avec lui-même et autrui. Il existe trois états du Moi : l’état du Moi Adulte, l’état du Moi Parent et l’état du Moi Enfant.

Exposition : technique thérapeutique de désensibilisation employée dans le cadre des psychothérapies comportementales. L’exposition peut être réelle (exposition in vivo du patient à l’objet ou à la situation qu’il redoute), imaginaire (le patient s’imagine vivre la situation dont il a peur) ou intéroceptive (exposition du patient à des sensations redoutées).

Frontière-contact : dans le cadre de la Gestalt-thérapie, point où l’on fait l’expérience du Moi en relation avec ce qui n’est pas le Moi.

Génogramme : représentation graphique du système familial historique complétée par les liens affectifs et les événements marquants de l’existence, et utile à la compréhension des schémas familiaux.

Gestalt-thérapie : méthode thérapeutique globale dont le nom provient du verbe allemand «gestalten» qui signifie «mettre en forme, donner une structure». Elle implique différentes dimensions (le somatique, l’esprit, l’histoire individuelle, les attitudes) qui sont toujours replacées dans le cadre plus général de la personne prise en tant qu’unité indissoluble.

Hypno-thérapie : utilisation de l’hypnose à des fins thérapeutiques. Souvent employée comme réponse à des problématiques spécifiques (troubles du comportement alimentaire et de l’image de soi, arrêt du tabagisme, prise en charge de l’anxiété, du stress ou de la dépression, traitement de phobies et de blocages divers), son objectif est d’offrir au patient la possibilité d’ancrer les comportements souhaités, mais aussi d’accéder à son subconscient et à ses précieuses ressources.

Inconscient : activités et processus psychiques non perçus et non contrôlés par le conscient. Les fantasmes, les rêves et les pulsions représentent des modalités de manifestation de l’inconscient. La notion d’inconscient est au cœur de la thérapie psychanalytique qui cherche à l’explorer, par exemple grâce à l’interprétation des rêves.

Inférence arbitraire : en psychologie cognitive, tirer une conclusion spécifique sans en avoir la preuve.

Injonctions : en analyse transactionnelle, ce terme fait référence aux interdits, le plus souvent véhiculés par les parents ou les figures d’autorité au cours de l’enfance, qui constituent un frein à la liberté de la personne en inhibant ses potentialités.

Interprétation : verbalisation par le thérapeute de la compréhension du matériel inconscient de son patient.

Introjection : attitudes, traits de caractère et façons d’être que la personne intègre en provenance de l’environnement sans les questionner, en construisant ainsi un ensemble de règles internalisées.

Inventaire de dépression de Beck : échelle d’auto-évaluation dotée de vingt-et-un items qui fournit une mesure fondée et valide de la sévérité d’un état dépressif.

Loyautés familiales invisibles : expression de comportements familiaux qui se répètent de façon inconsciente au fil des générations.

Magnification ou minimalisation : en psychologie cognitive, traiter quelque chose de façon beaucoup plus ou beaucoup moins importante que cela ne l’est réellement.

Méta-Modèle : modèle développé dans le cadre de la PNL qui implique un usage plus éclairé du langage (dépourvu d’effacements, de distorsions ou de généralisations).

Moi : une des trois instances psychiques principales élaborées par la théorie freudienne. Le Moi présente différentes fonctions telles que l’élaboration de jugements, de planifications ou encore de stratégies de défense qui œuvrent ensemble afin de déterminer les coûts et les bénéfices de l’expression des pulsions en provenance du Ça.

Pensée dichotomique : en psychologie cognitive, catégoriser des événements en termes d’extrêmes, comme « tout ou rien ».

Personnalisation : en psychologie cognitive, s’attribuer des événements à soi-même sans que cela soit justifié.

Personnalité : sentiments, attitudes et comportements qui caractérisent une personne. La personnalité se construit tout au long de la vie.

Phase d’approfondissement : dans le cadre d’une hypnothérapie, phase qui permet au patient de rentrer progressivement dans une transe plus profonde que celle construite par l’induction.

Phobie : peur incontrôlée et non raisonnable d’un danger qui n’existe pas et qui se manifeste dans une situation spécifique.

PNL (Programmation Neurolinguistique) : thérapie brève qui regroupe un ensemble de techniques de communication et de méthodes ayant pour but la transformation de soi, mais aussi une meilleure perception de soi-même et des autres.

Projection : processus qui prend place lorsqu’un trait, une attitude ou une qualité sont assignés à un autre (individu, groupe ou objet) et se trouvent dès lors dissociés de la personne qui les projette.

Psychanalyse : terme qui fait référence à une théorie de la personnalité et de la psychopathologie, à une méthode pour investiguer l’esprit et à une théorie de traitement psychothérapeutique. Développée par Freud à la fin du XIXe siècle, la psychanalyse se base sur la verbalisation de conflits inconscients et l’exploration de la vie psychique.

Psychodrame : en psychogénéalogie, jeu de rôle psychothérapeutique qui offre aux participants la possibilité de clore une tâche inachevée. Il s’agit de proposer aux clients de rejouer, de mettre en situation et de mettre en scène un événement ou des rapports sociaux familiaux qui les empêchent d’avancer.

Psychogénéalogie : théorie et méthode thérapeutique qui cherche à déceler ce qui dans l’existence des ancêtres peut expliquer l’origine de problèmes psychiques, d’attitudes déconcertantes et de troubles somatiques présents.

Psychothérapie : application de techniques dérivées de principes psychologiques établis, par des personnes formées à la compréhension de ces principes, et à l’application de ces techniques dans le but d’aider leurs clients à modifier certaines de leurs caractéristiques personnelles.

Pulsion : en psychanalyse, excitation interne corporelle qui débouche sur un état de tension psychique.

Punition : concept en lien avec le comportementalisme, conséquence qui diminue la probabilité qu’un comportement se produise à nouveau. La punition peut être positive (un stimulus est ajouté à la situation) ou négative (un stimulus est éliminé de la situation).

Questionnaire des schémas de Young : questionnaire employé en thérapie cognitive pour évaluer les schémas inadaptés précoces.

Relation thérapeutique : échanges entre deux personnes qui se déroulent dans le cadre d’un soin thérapeutique délivré à l’une d’entre elles.

Relaxation à Induction Variable : méthode thérapeutique qui mêle des techniques issues de la psychanalyse à une médiation corporelle.

Renforcement : concept en lien avec le comportementalisme, conséquence qui augmente la probabilité qu’un comportement se reproduise. Le renforcement peut être positif (un stimulus est ajouté à la situation) ou négatif (un stimulus est éliminé de la situation).

Réponse combat-fuite : réaction face à un danger (commune à différentes espèces animales) qui agit comme une décharge sur le système nerveux et prépare l’individu à se battre ou à fuir.

Réponse conditionnée : concept en lien avec le comportementalisme, réponse qui apparaît suite à la confrontation au stimulus conditionné.

Réponse non conditionnée : concept en lien avec le comportementalisme, réponse naturelle de l’individu au stimulus non conditionné.

Rétroflexion : dans le cadre de la Gestalt-thérapie, frontière-contact qui devient plus rigide. L’individu se protège de l’environnement, comme s’il portait une armure. En agissant de la sorte, son corps se retire du contact avec l’environnement.

Révision mentale : en PNL, technique destinée à l’amélioration des capacités qui consiste à réviser mentalement ses objectifs pour mieux les atteindre. Elle est basée sur le fait que lorsque l’on révise mentalement, on utilise les mêmes circuits neurologiques que ceux impliqués dans l’utilisation réelle de la compétence.

Rolfing ou Intégration Structurale : massage thérapeutique, technique de soin qui vise à atténuer les restrictions dans les articulations et les muscles en œuvrant ainsi à une meilleure mobilité.

Schéma : en psychologie cognitive, représentation mentale qui est à l’origine de la compréhension de soi-même, des autres et du monde. Les schémas sont maintenus, élaborés et consolidés par le biais de processus d’assimilation, et sont modifiés par une accommodation à de nouvelles expériences. Ils se développent au cours de la petite enfance et de l’enfance.

Stimulus : événement ou facteur qui entraîne une certaine forme de réponse (excitation détectable, réaction comportementale) chez un être vivant.

Stimulus conditionné : concept en lien avec le comportementalisme, stimulus neutre au départ pour l’individu, qui ne provoque aucune réponse chez lui, mais qui en étant associé au stimulus non conditionné, finit par engendrer une réponse, au même titre que le stimulus non conditionné.

Stimulus non conditionné : concept en lien avec le comportementalisme, stimulus qui signifie déjà quelque chose pour l’individu et qui provoque naturellement une réponse chez ce dernier.

Stress : menace réelle ou imaginaire souvent liée à des sentiments d’impuissance, de désespoir et de détresse. D’un point de vue physiologique, le stress se traduit par une augmentation d’hormones, telles que l’adrénaline, qui facilitent des réactions physiques associées à la préparation à une action musculaire violente.

Sublimation : mécanisme de défense fondé sur la symbolisation par lequel des pulsions inacceptables sont modifiées au service du développement culturel et social. Selon Freud, ce processus permet aux pulsions sexuelles ou agressives d’être transformées en formes productives socialement acceptées, telles que la création artistique.

Suggestion : dans le cadre d’une hypnothérapie, idée suggérée ou influence exercée auprès du patient qui a pour but de l’amener à adhérer aux idées du thérapeute.

Sur-généralisation : en psychologie cognitive, extraire une règle générale d’un incident isolé et l’appliquer à des situations qui n’ont aucun lien.

Surmoi : une des trois instances psychiques principales élaborées par la théorie freudienne. Le Surmoi possède deux dimensions importantes, d’une part les valeurs intériorisées ou la conscience, et d’autre part l’idéal du Moi. Celui-ci correspond aux critères qui font que l’on parvient à se sentir bien avec soi-même.

Syndrome d’anniversaire : récurrence de circonstances importantes, joyeuses ou tragiques, au même moment clé, le même jour ou au même âge sur différentes générations. Il porte la marque d’une répétition inconsciente d’événements positifs ou de traumatismes et de tâches inachevées qui peuvent se conclure par des maladies, des accidents ou des troubles somatiques et psychologiques.

Thérapies psychocorporelles : méthodes thérapeutiques qui conçoivent le somatique, sous ses différentes expressions, en tant que clé vers un mieux-être ou une guérison, s’opposant ainsi aux techniques thérapeutiques fondées uniquement sur la verbalisation.

Thérapie systémique : méthode thérapeutique qui se focalise sur les schémas de communication entre des individus qui entretiennent une relation proche. Souvent appliquée au contexte familial, la thérapie systémique se concentre sur le moment présent et vise à apporter des changements à un système donné en s’appuyant sur ses caractéristiques, afin qu’il fasse part d’un fonctionnement optimal.

TOC : troubles obsessionnels compulsifs. Trouble anxieux qui se caractérise par des craintes spécifiques se traduisant par des obsessions idéatives (pensées envahissantes), des obsessions phobiques (contrairement aux phobies, ce n’est pas la situation qui provoque l’anxiété, mais la pensée au sujet de celle-ci) ou des compulsions (gestes répétitifs ou actes mentaux qui fonctionnent comme un rituel).

Toucher Thérapeutique : thérapie psychocorporelle qui travaille sur l’aura, le champ énergétique qui entoure le corps. Cette technique se fonde sur l’idée que les dimensions physiques, psychiques et émotionnelles sont regroupées dans un champ énergétique unique à chaque individu qui, s’il souffre de dysharmonies, peut entraîner des maladies.

Training autogène de Schultz : technique thérapeutique qui utilise des exercices mentaux pour construire un état méditatif et de relaxation profonde en élaborant mentalement des sensations de pesanteur et de chaleur au niveau des membres.

Transactions : dans le cadre de l’analyse transactionnelle, échanges interpersonnels conçus comme des « transactions » et qui peuvent être analysés en fonction de leur contenu verbal et non-verbal.

Transfert : pensées et sentiments du patient envers son thérapeute qui sont révélateurs de buts et conflits interpersonnels inconscients émanant de scénarios infantiles réactualisés par le processus thérapeutique.

Transmission intergénérationnelle : schémas d’interactions familiales qui tendent à se répéter au fil des générations entre des générations qui se connaissent et se côtoient.

Transmission transgénérationnelle : transmission qui s’effectue sur plusieurs générations, qui peuvent être très éloignées, d’un élément non-résolu ou incomplet.

Triangle dramatique de Karpman : outil central de l’analyse transactionnelle qui permet de rendre compte des jeux psychologiques auxquels s’adonnent les personnes lorsqu’elles communiquent entre elles. Il décrit trois rôles psychologiques, celui du Persécuteur, du Sauveur et de la Victime.

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